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La droititude

16 mars 2012

Les masques tombent

Plus l’élection approche, moins François Hollande arrive à dissimuler l’ambiguïté permanente qui lui tient lieu de projet. J’étais hier soir son contradicteur sur France 2 dans l’émission « Des paroles et des actes » et j’ai été frappé par son incapacité totale à donner des réponses claires quand je l’ai interrogé sur des sujets pourtant majeurs pour l’avenir de notre pays : international, nucléaire, immigration, sécurité…

A l’international d’abord, François Hollande a été incapable de dire s’il souhaitait que la France reste dans le commandement intégré de l’OTAN. Il faut dire qu’il avait fustigé, le 8 avril 2008, ce choix de Nicolas Sarkozy comme « contraire à nos intérêts » avant d’expliquer le 27 février dernier sur TF1 qu’il ne s'agirait pas de « sortir » de l’OTAN… Rester ? Sortir ? François Hollande n’a toujours pas tranché. Et pour cause, l’ensemble de ses alliés, Verts, Chevènementistes et Front de gauche sont méfiants à l’égard de l’OTAN. Résultat, plutôt que d’assumer une décision qui déplairait à ses amis, François Hollande louvoie. Cela n’a rien de rassurant, à moins de deux mois de l’élection présidentielle, alors que l’OTAN est l’un des socles de notre Défense nationale.

Le nucléaire ensuite. L’accord électoral, qui lie le PS aux Verts, prévoit la fermeture de 24 réacteurs sur 58 pour passer de 75% à 50% d’électricité d’origine nucléaire. Cette option est confirmée noir sur blanc dans le projet de François Hollande. Mais il n’a pas su expliquer pourquoi il voulait porter un tel coup d’arrêt à cette industrie d’excellence qui emploie 400 000 personnes, assure notre indépendance énergétique et permet aux Français de bénéficier de factures d’électricité 40% moins chères qu’en Europe. S’il a affirmé qu’il fermerait les 2 réacteurs de la centrale de Fessenheim en Alsace, il n’a pas eu le courage de dire quels seraient les 22 autres réacteurs qu’il comptait arrêter, renvoyant à d’hypothétiques décisions à horizon 2025... Courage, fuyons ! En dehors de la nécessité électoraliste de plaire aux Verts, on ne comprend toujours pas pourquoi il a choisi de tirer un trait sur un tiers de nos capacités nucléaires. Et la contradiction saute aux yeux : s’il considère que le nucléaire est dangereux et incontrôlable, alors il faut sortir totalement du nucléaire, s’il considère qu’il n’est pas dangereux, il n’y a pas de raison de fermer arbitrairement un tiers de nos réacteurs.

L’immigration. François Hollande a expliqué qu’il était ferme parce qu’il ne voulait pas de régularisations massives mais des régularisations « au cas par cas ». Mais il n’a pas donné de critères précis de régularisation. Or, régulariser sans critères précis, c’est régulariser massivement. C’est exactement ce qu’avait fait Lionel Jospin et cela avait aboutit à 80 000 régularisations de clandestins sur la seule année 1998…

La sécurité enfin. François Hollande a encore une fois parlé de fermeté. Mais il a surtout affirmé « qu’il y a une part importante des gens qui sont en prison et qui ne devrait pas y être ». Une déclaration surréaliste quand on sait que 80 000 peines de prison ferme ne sont pas exécutées, faute de places dans notre système carcéral ! Dans la même logique, il n’a pas renié, malgré son embarras, la proposition de loi, qu’il a cosignée et que le sénat socialiste a adoptée, le 1er février dernier, qui consiste à faire sortir un délinquant de prison pour en incarcérer un autre…

Présider, c’est décider. Le débat d’hier a montré justement que, sur tous les sujets, François Hollande refuse de choisir. Il préfère changer son discours pour séduire son auditoire. Il n’a donc manifestement ni stratégie, ni vision cohérente pour la France.


Jean François Copé vu sur U-M-P.org

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16 mars 2012

La famille Jigagne

Lors de ces vacances de Février, Gérard et Maryse JIGAGNE ont accepté de répondre favorablement à l’invitation d’un ancien collègue de Gérard parti s’installer à Tulle en Corrèze depuis quelques années. C’est donc pour quelques jours que nous retrouvons Gérard et Maryse chez les KIPPER.

Las des trajets dans le cadre de son emploi de chauffeur livreur, François KIPPER avait saisi le passage aux 35 heures dont il avait défendu la réforme, pour quitter son emploi et partir en Corrèze pour démarrer une nouvelle vie.

François, dont les anciens collègues sarthois auraient vu leur salaire maintenu sur la base de 39 heures pour 35 heures travaillées alors que lui-même a retrouvé un emploi d’agent logistique sur 35 heures payées 35. Depuis 12 ans, François n’a jamais pu combler cette perte salariale conséquence de la mesure phare du PS.

Jimmy, fils de François, garde aussi un mauvais souvenir des mesures socialistes que sa famille avait pourtant plébiscitées. En mal d’orientation, il avait signé un contrat emploi jeune de 5 ans. Certes, il a ainsi pu travailler pendant 5 ans au sein d’une collectivité locale, mais à l’issue de ce contrat, la maire socialiste, comme la grande majorité de ses collègues, n’a pas pérennisé l’emploi de Jimmy qui s’est retrouvé sans travail et, pire, sans droit à une quelconque indemnité de précarité ! En outre, dans quelques années, il s’apercevra avec amertume que ces 5 années ne comptent pas dans le relevé de carrière puisque les « emplois jeunes » ne cotisent pas pour la retraite !!!

Les « contrats emploi jeune » de M. JOSPIN ont finalement accru l’emploi précaire car au lieu de créer un CDI, beaucoup d’Associations et de Collectivités ont préféré recruter 2 emplois jeunes (contrats aidés) et, lorsque ces jeunes sont arrivés en fin de contrat, souvent à plus de 26 ans, ils ne pouvaient plus bénéficier des avantages offerts aux moins de 26 ans en terme de recrutement.Martine KIPPER, quant à elle, fulmine contre le Conseil Général de Corrèze. Branda et Sue- Ellen, les deux jumelles du couple se rendent quotidiennement à leur collège en empruntant les transports scolaires départementaux, jusqu’alors gratuits, ces transports, sur décision de François HOLLANDE, Président du Conseil Général sont désormais payants, depuis le 1er janvier 2012

Compte tenu du quotient familial, c’est 320€ par an que la famille KIPPER doit désormais payer grâce à la gestion départementale des socialistes !

En outre, François et Martine faisaient garder leur petit dernier, Davy, par une assistante maternelle et bénéficiaient d’une prime de garde de 1000E pour l’année, mais, là encore, M. HOLLANDE et sa majorité au Conseil Général de Corrèze viennent de voter la fin de cette prime.

Transports scolaires et prime de garde, c’est donc au total 1320E de plus à la charge de la famille KIPPER chaque année, sans compter la forte augmentation de la fiscalité locale.

Gérard et Maryse JIGAGNE, compatissent et viennent de proposer à leurs amis KIPPER de réaliser une première économie en ne renouvelant pas leur adhésion au Parti Socialiste !

Maryse JIGAGNE quant à elle, vient de recevoir un appel de son fils Thomas, étudiant qui, grâce au 10ème mois de versement des bourses étudiantes accordé par le Gouvernement, lui indique qu’il va s’équiper d’un ordinateur portable en ayant recours à l’opération qui permet aux étudiants de s’équiper au tarif d’1E par jour ainsi que l’a proposé la Majorité actuelle.

A leur retour de leur séjour en Corrèze, Gérard et Maryse ne manqueront pas de faire part à leur amis Sarthois des effets néfastes d’une gestion socialiste à l’échelle d’un département pour les convaincre de faire le bon choix dès le 1er tour de l’élection présidentielle.

16 mars 2012

Le chiffre de la semaine par Jérôme Chartier : 2,4 millions de TPE

16 mars 2012

Discours de Valérie Pécresse à Villepinte

16 mars 2012

Jean-François Copé : "Villepinte, un très grand succès populaire"

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13 mars 2012

Revaloriser le travail

13 mars 2012

Discours de Jean-Pierre Raffarin à Villepinte

13 mars 2012

Les moments forts des meetings de Marseille, Lille, Montpellier et Bordeaux

12 mars 2012

Sarkozy revient à 0,5 point de Hollande

Le président candidat Nicolas Sarkozy rattrape son retard sur le socialiste François Hollande dans les intentions de vote pour le premier de la présidentielle, selon le sondage Ifop-Fiducial* pour Paris Match publié ce lundi. Le chef de l'État gagne un point d'intentions de vote, à 28%, et se retrouve à seulement 0,5 point de son principal rival, le candidat socialiste recueillant 28,5% d'intentions de vote (-0,5).

Après un resserrement des courbes dans les quinze jours qui avaient suivi la déclaration de candidature de Nicolas Sarkozy le 16 février, le chef de l'État s'était de nouveau vu distancé de plus de trois points par François Hollande la semaine dernière, après sa visite chahutée à Bayonne et la proposition du socialiste de créer une tranche d'impôt à 75%. En réponse à cette baisse dans les sondages, Nicolas Sarkozy a lancé une contre-offensive médiatique, dont le point d'orgue était son meeting de Villepinte, en Seine-Saint-Denis, où plus de 50.000 personnes se sont rendues hier.

Marine Le Pen en chute

Au second tour en revanche, l'écart entre le président candidat et l'ancien premier secrétaire du PS, reste toujours important, à 55% pour François Hollande et 45% pour Nicolas Sarkozy.

La présidente du Front national Marine Le Pen poursuit de son côté sa chute : en six jours, elle est passée de 19 à 16,5% dans ce sondage, perdant encore un demi-point par rapport à vendredi. Le candidat centriste, François Bayrou, gagne un demi-point, à 12%, et celui du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon est stable, à 9,5%.

* Ce sondage quotidien est réalisé par internet auprès d'un échantillon de 874 personnes inscrites sur les listes électorales.

 

Vu sur Le Figaro.fr

12 mars 2012

Discours de François Fillon à Villepinte

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